De l’agriculture bio sur les friches littorales

Valorisable

Facile

Économique

C’est une disposition légale oubliée du code rural et de la pèche que la commune de Moëlan-sur-mer a remise au goût du jour. L’article L. 125-1 permet à « toute personne physique ou morale » de demander au préfet la mise en culture de terres agricoles « sous-exploitées depuis au moins trois ans ».

L’initiative convainc l’ensemble des partenaires et l’équipe communale est autorisée à expérimenter la remise en culture des friches sur 120 hectares, découpés en une vingtaine d’îlots. Une commission communale a été créée en 2015 pour piloter le projet. Début 2018, une mission d’assistance à maîtrise d’ouvrage est confiée à Terre de liens Bretagne ainsi qu’au groupement des agriculteurs biologiques du Finistère afin d’assurer, « l’animation et l’information auprès des propriétaires et de contribuer à l’émergence de projets agricoles ».

L’objectif de cette petite ville du Finistère est à la fois de développer son autonomie alimentaire, en développant l’agriculture biologique en circuit court, tout en luttant contre le risque d’incendie, l’artificialisation des sols et la spéculation foncière.

Agriculture biologique sur les bio-friches littorales.

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mairie@moelan-sur-mer.bzh

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2014
Moëlan-sur-Mer
Finistère
CD Finistère
4
9
6
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C’est une disposition légale oubliée du code rural et de la pèche que la commune de Moëlan-sur-mer a remise au goût du jour. L’article L. 125-1 permet à « toute personne physique ou morale » de demander au préfet la mise en culture de terres agricoles « sous-exploitées depuis au moins trois ans ».
L’initiative convainc l’ensemble des partenaires et l’équipe communale est autorisée à expérimenter la remise en culture des friches sur 120 hectares, découpés en une vingtaine d’îlots. Une commission communale a été créée en 2015 pour piloter le projet. Début 2018, une mission d’assistance à maîtrise d’ouvrage est confiée à Terre de liens Bretagne ainsi qu’au groupement des agriculteurs biologiques du Finistère afin d’assurer, « l’animation et l’information auprès des propriétaires et de contribuer à l’émergence de projets agricoles ».
L’objectif de cette petite ville du Finistère est à la fois de développer son autonomie alimentaire, en développant l’agriculture biologique en circuit court, tout en luttant contre le risque d’incendie, l’artificialisation des sols et la spéculation foncière.
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