Un projet qui favorise l’intégration professionnelle des réfugiés

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Le programme «Bâtir», porté par l’organisme de formation « Les clés de l’Atelier » dans le cadre du Programme d’investissement dans les compétences (PIC), forme 160 réfugiés aux métiers du bâtiment dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. Il propose une approche globale combinant apprentissage technique, cours de français, accompagnement social et modules transversaux.

Ce parcours sur-mesure, destiné à un public très éloigné de l’emploi, a permis à 47 % des bénéficiaires d’accéder à un emploi (dont 12,7 % en CDI ou CDD long) et à 33 % d’intégrer une formation qualifiante. Il génère aussi des impacts sociaux : relogement, autonomie financière, stabilisation de parcours de vie.

Le projet mobilise un large consortium d’acteurs locaux (accompagnement social, formation, logement) pour assurer un suivi complet des bénéficiaires. Il répond à la fois aux enjeux de l’insertion des réfugiés et au déficit de main-d’œuvre dans le secteur du bâtiment.

Intégration réussie des réfugiés dans la société.

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04 26 73 40 00

Comment Ithéa valorise cette BP

2019
Auvergne-Rhône-Alpes
Les clés de l’atelier
6
8
5
04 26 73 40 00
https://www.banquedesterritoires.fr/realisation/insertion-professionnelle-refugies
Le programme «Bâtir», porté par l’organisme de formation « Les clés de l’Atelier » dans le cadre du Programme d’investissement dans les compétences (PIC), forme 160 réfugiés aux métiers du bâtiment dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. Il propose une approche globale combinant apprentissage technique, cours de français, accompagnement social et modules transversaux.
Ce parcours sur-mesure, destiné à un public très éloigné de l’emploi, a permis à 47 % des bénéficiaires d’accéder à un emploi (dont 12,7 % en CDI ou CDD long) et à 33 % d’intégrer une formation qualifiante. Il génère aussi des impacts sociaux : relogement, autonomie financière, stabilisation de parcours de vie.
Le projet mobilise un large consortium d’acteurs locaux (accompagnement social, formation, logement) pour assurer un suivi complet des bénéficiaires. Il répond à la fois aux enjeux de l’insertion des réfugiés et au déficit de main-d’œuvre dans le secteur du bâtiment.
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